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Quatre voleurs sans envergure cherchent un gros coup. Cosimo a bien une idée, mais il est en prison. Ses complices trouvent un pigeon : Pépé, qui accepte d'avouer le crime de Cosimo et de prendre sa place derrière les barreaux. Mais Pépé vole le plan des malfrats et forme sa propre bande...Un des sommets de la comédie à l'italienne.

Capitaine de cavalerie, Fausto a perdu la vue et la mai gauche voici sept ans, lors de manoeuvres militaires. Alors qu'il doit se rendre à Naples.Il est accompagné dans son voyage en train par un jeune soldatde 18 Ans, Ciccio. Malgré sa cécité, Faustoévite les obstacles et repère les femmes, grâce au parfum qu'elles dégagent. Mais le voyage est long et Ciccio va devoir subir les caprices du capitaine.

À Rome, le jour férié du Ferragosto (quinze août), la ville est déserte. Bruno Cortona (Vittorio Gassman), la quarantaine vigoureuse, amateur de conduite sportive et de jolies femmes, déambule en voiture, une Lancia Aurelia B24, à la recherche d’un paquet de cigarettes et d’un téléphone public. Roberto Mariani (Jean-Louis Trintignant), un étudiant en droit resté en ville pour préparer des examens, l’accueille chez lui. Sous l’impulsion de l’exubérance et du sans-gêne de Cortona, ils entreprennent un voyage en voiture qui les emmènera vers des destinations toujours plus lointaines.

Sous la forme de dix neuf sketches, Les Monstres met en scène les « petites monstruosités » quotidiennes, les mesquineries et mensonges des italiens des années 1960.

1917 Le Romain Oreste Jacovacci et le Milanais Giovanni Busacca se rencontrent dans un quartier militaire lors de l'appel aux armes.
et deviennent amis. Bien que de caractère complètement différent, ils sont unis par l'absence d'idéal et le désir d'éviter tout danger. Leur objectif : sortir indemne de la guerre...

Trois camarades, frères d'armes pendant la Résistance, attachés au même idéal de justice et de progrès social, célèbrent la fin de la guerre et la chute du fascisme en Italie. Passent les années d'aprés-guerre et certaines illusions...

La mort suspecte de la jeune et belle Silvana met le petit juge Bonifazi, qui porte un regard désabusé sur la société dans laquelle il vit, sur la piste du puissant Santonecito, « un richissime homme d’affaires véreux d’origine sicilienne, menteur, hâbleur, machiste, malhonnête »1. Ce dernier essaie par tous les moyens s'attirer les bonnes grâces du juge2... Santonecito n'ayant pas d'alibi pour le soir de la mort de Silvana, demande à son père un faux témoignage. À la suite du refus de ce dernier de mentir, le fils le fait interner.