"Kaïrat est le premier film du réalisateur dont le style se révèle d'une superbe sobriété. Le rêve tient une place essentielle. Le résultat est impressionnant. Kardiogramma est lui, un film autobiographique. Enfant, Omirbaev ne parlait que sa langue natale. De santé fragile, il est envoyé dans un sanatorium de la ville où l'on ne parle que le russe. Il est perdu..."